Pourquoi personne ne parle de cette idée en France ? Le Minarchisme

Je vais te dire un truc brutal : tu n’es pas libre. Tu vis dans une couveuse, car on t’a appris à confondre la liberté avec l’autorisation, et comme un enfant docile, tu dis merci. Le pire, c’est que tu trouves ça normal et appelles ça le progrès ; moi, j’appelle ça une euthanasie douce.

Le minarchisme, c’est le refus de cette infantilisation.

C’est dire : « Stop. Assez. Je n’ai pas besoin d’une Maman-État qui me borde le soir et me gifle le matin. »
C’est choisir la responsabilité, l’échec, la honte peut-être… mais aussi le feu de la volonté propre ! Ce n’est pas un programme politique, c’est une déclaration de guerre à la tutelle ! Une philosophie pour ceux qui préfèrent le tragique à l'eau tiède ! Un mode de vie pour les adultes, et non pas pour les enfants capricieux.

Le minarchisme ne veut pas supprimer l’État, il veut l’assigner à résidence. Qu’il ferme sa gueule, qu’il baisse les bras, et qu’il ne se mêle pas de ce qu’il ne comprend pas : la vie réelle.

Un État minarchiste est un État qui fait trois choses :

1. Il empêche qu’on te vole.

2. Il empêche qu’on te viole.

3. Il empêche qu’on t’écrase.

Et pour le reste ? Tu te démerdes, comme un grand !

En France, c’est un blasphème.

Ici, l’État est sacré, on peut cracher sur la religion, sur la famille, sur l’argent… mais pas sur l’État.
Critiquer l’État, c’est comme gifler une mère en public : tout le monde te regarde de travers. En vérité, l’État n’est plus un outil, tel qu'il devait être et rester, c’est devenu une idole. Un dieu technocratique, nourri aux statistiques et aux injonctions morales, tout en faisant l'inverse de ce qu'il prescrit ! Il pense pour toi, mange pour toi, t’élève, te soigne, te surveille, t’enterre...Tu nais dans son giron, tu meurs dans ses bras. Et entre-temps ? Tu es entretenu. Et ils appellent ça "vivre ensemble" ! Mais vivre ensemble ne veut plus rien dire quand plus personne ne sait vivre seul. La solidarité a été remplacée par l’assignation à dépendance, et la liberté, n'est plus qu'un abonnement à la sécurité.

Un monde minarchiste ? C’est une purge ; et c’est tant mieux !

Il ne s'agit pas de réformer, mais d'amputer !

Un monde minarchiste c'est un monde qui :

-Supprime les aides.
-Supprime la sécu.
-Supprime l’école obligatoire.
-Supprime les impôts confiscatoires.

Tu hurles déjà ? Normal, on t’a élevé dans l’idée que la douleur était à bannir, que le risque était un virus et que la liberté faisait peur.

Objection : “Mais… et les pauvres ?”

Et toi, tu veux dire : "Qui va aider ceux qui tombent ?"
Le minarchiste répond : les autres humains, et non pas l’État, surtout qu'au final il le fait avec ton argent...
Ceux qui vont t'aider ce sont : des familles, des cercles, des fraternités, des alliances, de la coopération,
et non pas des formulaires interminables pour au final essuyer un refus.

La vraie pauvreté, aujourd’hui, ce n’est pas le manque d’argent, c’est l’absence de liens, de chair, de regard, de confiance et de responsabilité !

Objection : “Mais ça va créer des inégalités !”

Oui, bien sûr. Et alors ? L’égalité parfaite, c’est la mort en uniforme, c'est un mouroir administratif où tout le monde crève à la même vitesse, lentement et douloureusement ! L’inégalité, c’est la vie selon Nietzsche. C’est la création et la grandeur ! Ce que tu crains, ce n’est pas l’injustice, c’est la responsabilité d’être toi-même la cause de ta chute ou de ta gloire !

Objection : “Mais ça ne marche pas !”

Ah bon ? Et cette France qui s’effondre à crédit, elle "marche" ? Trois mille milliards de dettes, un passeport refait en six mois, les hôpitaux qui ferment, aucun médecin pour ta chimiothérapie, etc. Tu veux vraiment parler d’efficacité ?

Le minarchisme ne promet pas de paradis, et aucun arrière-monde. Il promet un poids et un retour du réel. Un monde où tu cesses de fuir !

Être minarchiste, c’est refuser d’être un enfant sous tutelle.

Le minarchisme, c’est un cri. Un cri qui dit : Je préfère tomber de moi-même que d’être porté comme un légume toute ma vie ! C’est l’éthique de celui qui ne veut pas d’un monde sans souffrance, car il sait que ça n'existe pas. Le minarchiste veut un monde sans camisole !

Être minarchiste, c’est être le dernier adulte dans un monde d'enfants rois.

Tu demandes à décider pour toi-même, on te traite d’égoïste ? Mais tu n’es pas un égoïste.
Tu es un être humain qui ne veut plus qu’on lui tienne la main pendant qu’on lui coupe les jambes ! Le minarchiste, n’est pas un radical, c’est un survivant, un hérésiarque ! Tu ne fais pas partie de ceux qui sont frustrés par le moindre refus, tu reviens avec d'autres idées, tu fais des essais, des erreurs, mais tu recommences et ne lâches rien !

Alors je te repose la seule vraie question : Veux-tu être libre ? Ou veux-tu juste être protégé ?

Mais réponds-moi sans doctrine, sans idéologie, avec cette part de toi que l’État n’a pas encore réussi à formater.

Retrouve mon propos en vidéo ci-dessous :

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